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White Tuesday.

On entend beaucoup parler du Black Friday dans le monde du commerce. Malheureusement avec cette peste de Covid 19, ce ne sont pas des vendredis noirs, mais des mois noirs que les commerçants ont connus en 2020. Tout le monde a encore en tête les drames que cette épidémie a engendré, les décès et malheureusement … suicides.
Pourtant le commerce n’a pas l’air d’en souffrir, la Poste n’a jamais connu une telle effervescence avec une distribution de 600.000 colis par JOUR !
Les seuls commerçants à souffrir de ce tsunami commercial, ce sont les petits commerces de proximité qui ont dû … fermer boutique !
Ce 1er décembre, une éclaircie pointe avec la réouverture de certains négoces. Malheureusement beaucoup restent sur le carreau et ont besoin d’une assistance vitale de la part de notre pouvoir, qu’il soit fédéral, régional, provincial ou même communal.
Cela fait une multitude d’élus qui en principe ont un pouvoir de décision. Et oui, des décisions ont été prises. Dans le domaine de la prévention, un staff fait tout ce qu’il peut pour inculquer les recommandations élémentaires de protection individuelles et collectives.

Dans le domaine des aides financières malgré les nombreux discours, peu de commerçants sont aidés efficacement, 70% des commerces fermés n’ont pas encore reçu d’aide.

Petite parenthèse, à propos de nos politiciens, je vous renvoie à la fables de La Fontaine qui faisait allusion au ramage et au plumage et qui trouve une belle illustration de ce qui se passe actuellement mais, malheureusement ce n’est pas
une … fable

Quoi qu’il en soit, pour ceux qui pourront ouvrir ce mardi 1er décembre, le public a un rôle à jouer en privilégiant les achats de proximité aux dépens de ces ogres Amazone et consorts pour que ce mardi soit un mardi blanc synonyme d’espoir !

 

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La science vulgarisée avec Strange

Strange est un magazine français de bande dessinée publié de janvier 1970 à mars 1998 par les éditions Lug, puis par les éditions Semic, d’abord en petit format puis au format BD. Le trimestriel reprenait des histoires et des personnages de comics des publications américaines Marvel Comics.

Strange à la rescousse !

Strange commence sa carrière éditoriale en petit format, et alterne, une page sur deux, une bichromie verte ou rouge en complément du noir et blanc. Le sommaire de la revue comprend une pagination permettant d’accueillir plusieurs épisodes. Après dix numéros, la revue passe au format 17 x 24 cm, qui est plus proche du format d’origine, et adopte définitivement la couleur. La revue contenait également par moments des posters détachables, mais aussi des articles de sensibilisation à la science.

C’est ainsi que le numéro 5 du 10 août 1976 propose un article traitant de l’énergie de la mer et du soleil. Près de cinquante ans plus tard, l’idée préconisée n’a pas fait grand chemin, mais la géothermie a vu le jour.

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Le numéro suivant en décembre 1976 faisait allusion à l’énergie solaire pour les satellites. Avec la multitude des panneaux solaires sur nos toits, on ne peut que constater que l’idée n’était pas farfelue, mais beaucoup moins ambitieuse que l’idée soumise aux jeunes en 1976.

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Devenez coopérateurs !

La botte paysanne

Objectifs de la coopérative.

La Botte Paysanne est une Coopérative à finalité sociale, elle rassemble des producteurs paysans. L’objectif de la Coopérative est la vente directe de produits locaux par les producteurs eux-mêmes. Ces producteurs participent au soutien et au développement d’une agriculture paysanne bio et locale tout en garantissant une nourriture saine et respectueuse de l’environnement et, un revenu équitable à leurs labeurs.

Vous appréciez les produits laitiers, les viandes, les glaces et sorbets des producteurs ? 

Ils ne sont pas à leur avantage dans les frigos et congélateurs de récupération qui ont fait leur temps ! La Coopérative a décidé de les remplacer par du matériel plus économe en énergie, plus joli, plus pratique. Pour ce faire, elle fait appel à votre collaboration pour cet achat important et devenez Coopérateur… à partir de 100€ (= 1 part). 

Attention : ce n’est pas un don, mais un prêt (déductible fiscalement à 45%) qui permettra d’éviter la banque ou de mettre la trésorerie en péril (le paiement des factures des producteurs est privilégié). 

Le souhait de la coopérative.

Il vous est demandé simplement de ne pas reprendre le montant de votre/vos part(s) avant 2 ans afin de ne pas déstabiliser le budget. Vous devenez ainsi Coopèr’Actrice/Coopèr’Acteur, vous participez au développement du comptoir paysan local bio, vous placez votre argent à bon escient et finalement, à un meilleur rendement que dans une banque !  

Pour infos :

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La cuisine de guerre.

Nos aînés se souviennent des privations alimentaires durant la guerre 1940-1945. C’est ainsi que plus récemment avec le conflit du canal de Suez, la guerre dans les Balkans, ou celle du Golfe la population s’est jetée sur les produits de première nécessité sucre, riz, pâtes, conserves, etc…
Un épisode de cette frénésie d’achat vient de se dérouler cette année avec l’arrivée d’un nouveau type de guerre … Covid19.
Tout le monde a encore en tête le « pillage » de différents rayons et notamment le rayon du … papier WC !

Que ferions-nous en période de guerre ?
Pendant toute l’occupation 40 – 45, comme pendant la Première Guerre mondiale, c’est le système de rationnement qui prévaut. Cela signifie que la vente de certaines denrées de première nécessité est régulée. On ne peut se les procurer qu’en échangeant des timbres de rationnement.
Pour info, voici un exemple de rations proposées en 1940 par jour et par personne : pain : 225 gr ; café : 10 gr ; graisses alimentaires : 50 gr ; féculents (pâtes, riz, gruau): 20 gr ; sel : 20 gr ; sucre : 30 gr ; pommes de terre : 500 gr ; savon : 20 gr ; huile : 5 gr. On distribuait aux familles les timbres correspondant à ces denrées. Les femmes enceintes et les personnes âgées ou les personnes effectuant un travail très physique avaient droit à des rations supplémentaires.

Exemple de bon d'approvisionnement

Potagers urbains, à la rescousse !
En Grande-Bretagne, la campagne Dig for Victory (« bêchez pour la victoire »), et celle des Victory Gardens (les « jardins de la victoire ») aux Etats-Unis, se mettent en place pendant la Première Guerre mondiale et se répètent pendant la Seconde.

Belgium WWII

À Bruxelles, au début de la guerre une vague de fièvre horticole s’empare de la ville. On plante partout, dans les jardins, les squares et les parcs. Certaines entreprises et administrations mettent des surfaces à disposition de leurs employés. Ce sont les employés communaux qui ont avant tout accès aux parcs publics pour y cultiver des légumes. La Société des chemins de Fer belges a mis à la disposition de ses employés buttes et talus à proximité des gares et des voies.

Manger reste un acte de plaisir même durant une guerre !
On s’imagine que le monde de la débrouille était à son summum pendant le conflit et cuisiner et manger en période de guerre nécessite connaissances et ingéniosité. Certains produits, étant difficiles d’accès en raison de leurs prix élevés ou de leurs indisponibilités, des ersatz alimentaires sont venus en aide.

En Province du Hainaut le Conseil de perfectionnement de l’enseignement technique (section féminines) édite en 1940 un fascicule « Recettes et menus de guerre ».

De nombreux conseils sont prodigués pour la réalisation de sauces, des potages,  de mets et autres moyens de conservation comme les salaisons, la dessiccation ou la stérilisation.

Ci-dessous un extrait de ce livre pour réaliser à partir de 100 gr de beurre, 600 gr de … beurre pour tartine.

Voici deux menus pour un enfant de 7 à 8 ans calculés avec le rationnement de novembre 1940.

Et pour finir, voici la recette d’un dessert … de guerre !

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Balade gourmande

Malheureusement, ces activités viennent d’être annulées en raison des contraintes sanitaires.

Ce n’est que partie remise, rendez-vous au printemps 2021.

Infos : Foyer culturel de Beaumont

Gastronomie et balade

Après le vif succès rencontré l’an dernier, ce 18 octobre, le Foyer Culturel de Beaumont vous propose sa cinquième balade gourmande. C’est maintenant devenu une habitude, la balade gourmande est organisée en même temps que le marché d’automne sur la place du Belvédère à Beaumont.

Ouvert de 9h00 à 18h30 le marché d’automne met à l’honneur les produits artisanaux et les producteurs locaux. Comme l’an dernier, le succès sera au rendez-vous, mais un nouveau venu a pris place dans l’organisation et malheureusement il faudra faire avec. Vous l’aurez deviné, cet intrus mondialement connu, le Covid19 pour ne pas le citer a quelque peu modifié l’organisation.

Le parcours.

Un parcours d’environ huit kilomètres parsemé d’arrêts culinaires, partant de Beaumont (Place du Belvédère), direction Thirimont. Un bus anglais vous attendra au départ (Au chapiteau, Place du Belvédère de Beaumont), ainsi qu’au dernier arrêt du village pour varier la balade et terminer par le dessert.

Les inscriptions.

À votre inscription, il vous est demandé de choisir votre heure de départ et si possible de respecter l’horaire choisi. Ces départs se feront toutes les demi-heures à partir de 10h00 et ce jusqu’à 13h00.

Réservation par téléphone : + 32 71 58 82 07.
Le prix de la balade est de 37 euros pour les adultes et de 15 euros pour les enfants de moins de 12 ans.

Les mesures.

Pour des raisons d’organisation le paiement devra être effectué sur le compte du Foyer Culturel (qui vous sera communiqué lors de votre appel), avec en communication : le nombre de participants ainsi que le nom de la personne qui effectue la réservation et qui dès lors, sera la personne de référence en cas de tracing COVID19.
Les paiements seront clôturés le 7 OCTOBRE 2020.
Pour tout désistement avant cette date de clôture ou annulation obligatoire de l’organisateur, le remboursement des inscriptions est prévu.

Infos

Des questions, contactez le foyer culturel au : + 32 71 58 82 07 ou à l’adresse : foyerculturel.steph@gmail.com

Et si on parlait menu.

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